En prison civile d’Akpro-Missérété depuis 2021, l’opposante Reckya Madougou a dénoncé ses conditions difficiles de sa détention. A travers une longue lettre écrite depuis sa cellule, elle proteste contre la violation de ses droits de détenue, les faits de brimades, d’oppression et ses difficultés à répondre à ses impératifs sanitaires et à recevoir des visites, etc.
“Dans quel état de droit un prisonnier est interdit de téléphoner même à ses enfants et à son médecin traitant quand il est souffrant, et sans tenir compte de la loi ? C’est ce que je suis la seule à endurer à la prison de Missérété”, a-t-elle écrit dans la lettre.
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